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Produits par de douces "buckfast métissées", les miels de l'abeille au bois dormant doivent leurs typicités à la richesse botanique des clairières du nord de la Forêt des Landes de Gascogne et du Pays de Montaigne. Ajonc, saule, acacia, bourdaine, centaurée jacée, véronique petit chêne, trèfle, houx, ronce, bruyère, callune, châtaignier, bouleau, pin et chêne les composent.
Nos avettes vivent à l’année au coeur de ces bois paisibles et frais, à peine dérangées par la faune sylvestre et quelques chasseurs-cueilleurs. Apiculteur récoltant, nous dérogeons à la sacro sainte règle de sédentarité de nos ruchers afin de récolter le miel de bourdaine, sous les humides parcelles de pins, mais parfois aussi le tournesol et le sarrasin. Nous “mettons au vert” également nos essaims en fin de saison pour les préserver des frelons asiatiques, bien plus actifs en milieu urbain et dans les forêts de feuillus à forte densité d’abeilles que dans les résineux, à l’écart de l’homme.
Récoltés au printemps et à la fin de l’été, nos miels ne sont ni traités, ni pasteurisés. Ils maturent 10 à 15 jours avant d’être filtrés et mis en pot. Ils se conservent 2 ans dans un endroit tempéré, sec et à l'abri de la lumière. Ne pas donner à un enfant de moins de 1 an.
Le pollen frais congelé
Le pollen de forêt
Récolté d’Avril à Juin, nous le congelons après l’avoir tamisé et débarrassé de ses impuretés. Le pollen frais congelé conserve ainsi son arôme parfumé, végétal et sucré ainsi que l’ensemble de ses vertues thérapeutiques. Il est loin le goût du foin du pollen de notre enfance…:-).
À déguster sans modération dans son jus du fruit du matin, son bol de céréales ou sur une salade (fruits, légumes…)
Le pot de l’ours !
Nous avons réalisé un packaging à 1200 gr pour les gros mangeurs de miel !
Nous déclinerons ce pot gourmand à un prix avantageux sur l’ensemble de notre gamme de miel à compter de la saison 2024.
Parrainage de ruches
Miels en Médoc & Pays de Montaigne
Récolter du miel dans une région plus réputée pour ses châteaux et son vin que pour son miel n'est pourtant pas une gageure : de nombreux apiculteurs professionnels transhument de toute la France pour y récolter le miel d'acacia en Mai. Les miels de bruyère ainsi que de bourdaine sont également réputés. À l’opposé, l’apiculture est une pratique plus courante au Pays de Montaigne.
Nous avons sélectionné pour nos ruches sédentaires des clairières de forêt, ombrageuses et paisibles, à distance respectable d’une viticulture encore trop peu vertueuse. La sédentarité induit de fait un rendement moindre de production par ruche, mais l’époque compliquée dans laquelle se démènent nos avettes (varroa, frelons asiatiques, pesticides, fongicides, herbicides et autres intrants, effondrement de la biodiversité, changement climatique...) ne demande-t-elle pas une adaptation de nos pratiques apicoles ?
Nous utilisons des traitements bios à base d’huiles essentielles (thym). Nos ruches sont entièrement en bois pour une meilleure gestion thermique (les plus exposées au soleil sont aussi peintes à la chaux, assorties de partitions isolantes en rives).
La cire gauffrée enfin n’est pas bio : cette dernière est coûteuse et ses teneurs en pesticides, acaricides non garanties... Seul un circuit court de réutilisation de notre propre production de cire d’opercules nous paraitrait satisfaisant. Nous travaillons en attendant avec des feuilles en cire d’opercules, plus pure et à priori exempte d’altérations. Nous utilisons enfin les cadres à jambage, dans notre gestion de l’essaimage et du varroa.
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